Citation Voltaire : santé ciel
Que la santé immortelle descende du ciel
-Voltaire
Si vous donnez ça à vos plantes. Alors pourquoi donnez-vous ça à vos enfants
Les boissons sucrées constituent une source importante de sucres ajoutés et de calories. Et comme elles ne rassasient pas, ces calories s’ajoutent à celles fournies par les autres aliments normalement consommés dans la journée. Et qui dit excès de calories dit aussi kilos en trop…
Qu’ont en commun les jus de fruits, les thés glacés, les boissons gazeuses, les cocktails et la bière? En soi, ces boissons sucrées ne sont pas nécessairement néfastes mais, consommées avec excès, elles peuvent entrainer un gain de poids, tout en augmentant les risques de certaines maladies.
Comparativement aux aliments solides, ces bonbons liquides contenant de 3 à 9 sachets de sucre simple comblent peu la faim. Il est donc facile d’absorber une quantité de calories excédant nos besoins quotidiens. Un surplus aussi petit que 50 calories par jour, correspondant à environ 100 ml de jus ou de boissons gazeuses, peut entraîner un gain de plus de 2.5 kg (5 livres) par année.
Aliment |
Portion |
Sucres (g) |
Calories |
---|---|---|---|
Sucre |
1 sachet (5 ml) |
4.2 |
16 |
Bière |
1 bouteille |
10.3 |
140* |
Vin |
125 ml |
2.1 |
90* |
Jus d’orange |
250 ml |
28 |
118 |
Jus de pomme |
250 ml |
29 |
119 |
Cocktail de fruits (raisin) |
250 ml |
39.8 |
163 |
Boisson gazeuse |
250 ml 1 canette (355 ml) |
28 39,8 |
109 155 |
Eau vitaminée |
250 ml 1 bouteille (591 ml) |
13,5 32 |
52 123 |
Boisson énergisantes |
250 ml |
27,5 |
113 |
Boisson pour sportif |
250 ml 1 bouteille (591 ml) |
14,8 35 |
63,5 150 |
Thé glacé |
250 ml 1 canette (355 ml) |
14 20 |
52,8 75 |
Lait au chocolat** |
250 ml |
25,7 |
164,3 |
Lait nature |
250 ml |
13,4 |
108 |
Orange*** |
1 |
20 |
62 |
Pomme*** |
1 |
16.5 |
72 |
Au cours des deux dernières décennies, l’engouement pour les boissons gazeuses, les boissons aux fruits, les thés glacés, les eaux vitaminées et les boissons pour sportifs a marqué les habitudes alimentaires de nos jeunes.
Aux États-Unis, les jeunes Américains ont presque doublé leur consommation de boissons sucrées en 10 ans. Si bien que celles-ci sont devenues la première source de sucre dans l’alimentation des jeunes Américains et Canadiens. Un adolescent québécois boit en moyenne un demi-litre de boissons sucrées par jour et les adolescentes, un tiers de litre, soit l’équivalent d’environ 9 à 15 sachets de sucre…
Une seule canette de boisson sucrée renferme près du maximum de sucre ajouté recommandé pour une journée ! Et c’est sans compter le sucre présent dans de nombreux produits transformés ou prêt à manger.
Parallèlement, l’obésité chez les jeunes devient un problème de plus en plus préoccupant en Amérique du Nord. Les boissons sucrées, tout comme la sédentarité et les produits hautement transformés gras et sucrés, prennent place au banc des accusés.
Selon une étude menée auprès d’enfants d’âge scolaire, plus les enfants boivent de boissons sucrées (et moins ils boivent de lait), plus leurs apports caloriques augmentent. Or, les jeunes délaissent de plus en plus le lait ou ses substituts au profit des boissons sucrées. Ainsi, plus de la moitié des adolescents ne consomment pas le minimum de portions de lait et substituts recommandées quotidiennement.
Et ce n’est pas tout : une autre étude réalisée par des chercheurs de l’Hôpital pour enfants de Boston et du Harvard Medical School démontre les méfaits de ce type de boisson. Pour chaque boisson sucrée additionnelle consommée, les risques de développer de l’obésité augmenteraient de 60 % chez les enfants qui ont participé à l’étude.
Malheureusement, les boissons sucrées gagnent des adeptes de plus en plus jeunes. Or, une étude publiée en 2013 et effectuée chez 9 600 jeunes suggère que les enfants âgés de 2 à 5 ans qui consommaient 1 boisson sucrée ou plus par jour avaient un poids plus élevé et étaient plus à risque de développer un surpoids ou de l’obésité dans les 2 années suivantes comparativement aux jeunes enfants qui avaient l’habitude de boire moins de boissons sucrées.
Bien qu’aucune relation directe entre les boissons sucrées et l’obésité ne puisse être établie, la consommation de boissons sucrées est un important contributeur de l’obésité chez les jeunes. De plus, les habitudes de vie accompagnant la consommation de ces boissons, telles la consommation accrue de produits hautement transformés et la sédentarité, favorisent aussi le gain de poids.
La révision de la politique québécoise de la jeunesse 2030 du Secrétariat à la jeunesse du Québec publiée en mars 2016 fait d’ailleurs état de ce constat. En effet, cette instance gouvernementale a déclaré dans sa politique que « les problèmes de santé reliés à l’alimentation les plus courants sont l’embonpoint et l’obésité » qui « peuvent être dus à des habitudes de surconsommation d’aliments transformés à fort contenu calorique et peu nutritif, telles que les boissons sucrées.
À la maison comme à l’extérieur,faites de l’eau votre meilleure arme contre la soifPour ce faire, traînez une gourde d’eau partout où vous allez et conservez un pichet d’eau froide dans le réfrigérateur. Transformez également l’eau plate en boisson alléchante en y ajoutant des herbes fraîches (menthe, basilic, romarin, etc.), des petits fruits (fraises, framboises, bleuets, etc.) ou des glaçons de formes amusantes.
Ne comblant pas la faim, la consommation de calories liquides serait plus dommageable pour le poids que la consommation d’aliments solides. Ceci s’explique par le fait que, contrairement au glucose, le fructose présent dans ce type de boisson n’induit pas la sécrétion de l’hormone de satiété (la leptine), ce qui peut nous pousser à manger davantage. Renfermant jusqu’à 7 sachets de sucre par tasse, les boissons sucrées représentent donc souvent que des calories superflues favorisant un gain de poids et de masse adipeuse.
De plus, comme le sucre contenu dans les boissons sucrées est présent en grande quantité sous forme — c’est-à-dire qu’il n’est pas lié à d’autres nutriments ralentissant son absorption dans l’organisme, comme c’est le cas dans les fruits frais qui contiennent naturellement des fibres alimentaires — il est absorbé à vitesse grand V, ce qui augmente les risques d’insuffisance en insuline, de diabète de type 2 et d’obésité.
Le type de sucre habituellement présent dans les boissons sucrées, soit le sirop de glucose-fructose, qui est plus riche en fructose que le sucre de table, favoriserait également le gain de poids et le développement de maladies chroniques. Ceci s’expliquerait par le fait que ce type de sucre se rend directement au foie et se transforme donc plus rapidement en triglycérides et en réserve adipeuse, comparativement au sucre de table qui circule dans le sang avant de se rendre dans toutes les cellules de l’organisme.
L’obésité est une condition complexe. Une multitude de facteurs peuvent être à l’origine de l’excédent de poids des jeunes d’aujourd’hui
Finalement, rappelons qu’en plus d’être concentrées en sucre, les boissons gazeuses renferment aussi parfois de la caféine, un stimulant non recommandé pour les enfants.
…….
Nous savons tous que l’hydratation est essentielle pour une bonne santé, mais chronométrer votre consommation d’eau peut être tout aussi important. De nombreuses études scientifiques ont montré que l’eau potable à certains moments de la journée peut optimiser les avantages pour la santé.
Après le réveil, essayez d’obtenir au moins 2 verres d’eau pour vos organes internes actifs. Vous pouvez également être déshydratées de la nuit avant, donc cela peut aider à vous fournir des liquides aussi bien.
Boire un verre d’eau 30 minutes avant un repas peut être utile pour la digestion ainsi.
Si vous buvez un verre d’eau avant une douche et avant d’aller vous coucher, vous pouvez diminuer votre pression artérielle et réduire le risque d’accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques ainsi.
Comment boire plus d’ eau (et pourquoi vous devriez)
Ils disent que nos corps sont constitués de 70% d’eau, donc il va sans dire que nous avons besoin de boire suffisamment d’eau pour maintenir un équilibre sain. La plupart d’entre nous savent que nous devrions boire plus d’eau – mais vous souvenez-vous les raisons? Voici des rappels de quelques-uns des nombreux avantages de l’eau potable et comment nous pouvons facilement créer l’habitude de consommer plus d’eau sur une base quotidienne.
Si le corps se déshydrate , cela signifie que chaque cellule se déshydrate et ne peut pas effectuer à son niveau optimal. Déshydratation provoque la fatigue et la léthargie, ce qui aura un impact direct sur vos niveaux et performances énergétiques. Il n’y a pas que les cellules du corps qui sont touchées par le manque d’eau … ceux dans le cerveau souffrent aussi. La déshydratation peut aussi causer des maux de tête, un inconvénient de l’après – midi commun pour les employés de bureau. Vous pouvez la craie le mal de tête vers le bas pour le stress, mais essayez de boire plus d’ eau toute la journée et vous pourriez être surpris de voir combien de ces maux de tête , il élimine. Vous remarquerez également un manque de vigilance si vous avez pas été en sirotant à la fontaine de l’ eau tout au long de la journée. Restez hydraté et vous serez en mesure de se concentrer davantage et en faire plus.
L’eau est la force motrice de toute la nature.
-Léonardo de Vinci
Les spécialistes ne cessent de vanter les mérites de cette pause : la sieste accélère la mémoire et libère la créativité.
Depuis la fin des années 1990, le psychologue Bill Anthony, directeur du Centre de réhabilitation psychiatrique à l’université américaine Harvard, étudie les bienfaits de cette coupure antistress. Elle favoriserait la mémorisation et, par une remise à neuf du cerveau, permettrait d’assimiler de nouvelles données. D’autres études avancent que, grâce à ces vingt minutes de repos, les performances intellectuelles augmenteraient de 20 % ! Et ses fervents défenseurs soulignent qu’elle libère la créativité, au vu de la liste des génies qui l’ont adoptée : Isaac Newton, Archimède, Victor Hugo, André Gide… De quelle façon ? Mystère ! Aux yeux des scientifiques, ses mécanismes restent encore mal connus.
La sieste (du latin sexta, ou sixième heure du jour) désigne un temps de repos pris après le repas de midi. Selon Michel Tiberge, neurologue au Centre du sommeil de Toulouse, « l’être humain est génétiquement programmé pour avoir tendance à s’endormir vers 14-15 heures ». A cette heure clé, l’attention baisse, les paupières clignent, la tête chancelle. Certains piqueront du nez, d’autres ne se souviendront pas de ce qu’ils viennent de lire, mais cette petite faiblesse, même si on ne la perçoit pas consciemment, est inéluctable.
« Ce moment correspond d’ailleurs à un pic des accidents de la route », met en garde Anne-Marie Malabre, biologiste au Palais de la découverte et commissaire de l’exposition « Le sommeil, un art de vivre ». « Mais si cet état dépend de notre horloge circadienne (sur vingt-quatre heures), il n’est lié à aucun phénomène physiologique tels que ceux que l’on enregistre avant l’endormissement du soir, comme la baisse de température du corps. » Même si un repas trop riche, une dépense physique ou l’effet de la chaleur déstabilisent l’organisme et peuvent accentuer ce coup de barre.
Cette petite recherche publiée aux États-Unis dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism montre que faire une sieste rétablit dans l’organisme les niveaux d’hormones et de protéines permettant de combattre le stress, ainsi que de restaurer le bon fonctionnement du système immunitaire.
« Nos travaux suggèrent qu’une sieste de seulement 30 minutes peut inverser l’impact hormonal d’une mauvaise nuit », explique Brice Faraut, un chercheur de l’Université Paris Descartes-Sorbonne, l’un des principaux auteurs. « Il s’agit de la première étude à mettre en évidence le fait que la sieste peut restaurer la santé du système neuroendocrinien et immunitaire », affirme-t-il.
Ces chercheurs ont examiné les liens entre le fonctionnement hormonal et le sommeil dans un groupe de onze hommes en bonne santé âgés de 25 à 32 ans. Ceux-ci ont été soumis à deux séances de sommeil dans un laboratoire où la nourriture et l’éclairage étaient strictement contrôlés.
Lors d’une de ces expériences, le sommeil des participants a été limité à deux heures une nuit, suivi la journée par une sieste de deux heures pour certains et de trente minutes pour d’autres.
Après une nuit de sommeil limitée, ces hommes ont vu leurs niveaux de noradrénaline multipliée par deux fois et demie.
Une étude scientifique les bienfaits sur le niveau de stress ou le système immunitaire d’une sieste même assez courte chez des hommes n’ayant dormi que deux heures la nuit précédente.
Cette petite recherche publiée aux États-Unis dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism montre que faire une sieste rétablit dans l’organisme les niveaux d’hormones et de protéines permettant de combattre le stress, ainsi que de restaurer le bon fonctionnement du système immunitaire.
« Nos travaux suggèrent qu’une sieste de seulement 30 minutes peut inverser l’impact hormonal d’une mauvaise nuit », explique Brice Faraut, un chercheur de l’Université Paris Descartes-Sorbonne, l’un des principaux auteurs. « Il s’agit de la première étude à mettre en évidence le fait que la sieste peut restaurer la santé du système neuroendocrinien et immunitaire », affirme-t-il.
Ces chercheurs ont examiné les liens entre le fonctionnement hormonal et le sommeil dans un groupe de onze hommes en bonne santé âgés de 25 à 32 ans. Ceux-ci ont été soumis à deux séances de sommeil dans un laboratoire où la nourriture et l’éclairage étaient strictement contrôlés.
Lors d’une de ces expériences, le sommeil des participants a été limité à deux heures une nuit, suivi la journée par une sieste de deux heures pour certains et de trente minutes pour d’autres.
Les scientifiques ont analysé leur urine et leur salive pour déterminer l’effet de la privation de sommeil sur les niveaux altérés des hormones la nuit et, ensuite, après des siestes.
Après une nuit de sommeil limitée, ces hommes ont vu leurs niveaux de noradrénaline multipliée par deux fois et demie. La noradrénaline est une hormone et un neurotransmetteur jouant un rôle important dans la réaction de l’organisme au stress, qui accroît le rythme cardiaque, la tension artérielle et la glycémie.
Les chercheurs ont constaté que les niveaux de noradrénaline redevenaient normaux après une sieste.
Le manque de sommeil affecte aussi les taux d’interleukin-6, une protéine qui a des propriétés antivirales, contenue dans la salive. Cette hormone a fortement baissé chez les participants de l’étude après une nuit très courte, mais a retrouvé des niveaux normaux après une sieste.
« Les résultats de cette étude clinique plaident pour l’élaboration de stratégies concrètes qui pourraient aider les personnes manquant de sommeil de façon chronique, comme celles travaillant la nuit », relève Brice Faraut.
Près de trois adultes sur dix dorment en moyenne six heures ou moins par nuit, selon une récente enquête nationale de santé publique aux États-Unis.
Après les toxines, les vaccins et le lait, je suis maintenant prêt à affronter un autre adversaire de taille : le gluten.
Ou plutôt » l’absence » de gluten, car beaucoup de gens semblent croire que c’est une bonne idée de l’éliminer de leur alimentation. Et à vrai dire, pour certaines personnes, éviter le gluten est une nécessité, surtout celles qui souffrent de la maladie coeliaque.
Puisque la maladie coeliaque est fortement sous-diagnostiquée, ça serait cool d’en entendre parler davantage… mais ce qu’on entend plutôt de nos jours, c’est ce genre de trucs :
Or, toutes ces affirmations sont FAUSSES.
Ils perdent leur santé à faire de l’argent
et, par la suite, perdent leur argent à restituer leur santé.
En pensant anxieusement au futur,
ils oublient le présent,
de sorte qu’ils ne vivent ni le présent, ni le futur.
Finalement, ils vivent comme s’ils n’allaient jamais mourir,
et ils meurent comme s’ils n’avaient jamais vécu…
……………………………..