J’ai décidé d’opter pour l’amour, la haine est un fardeau trop lourd à porter.
– Martin Luther King
J’ai décidé d’opter pour l’amour, la haine est un fardeau trop lourd à porter.
– Martin Luther King
Soyez AVEC la personne qui vous rend heureux.
Ne demandez jamais quelle est l’origine d’un homme ; interrogez plutôt sa vie, son courage, ses qualités et vous saurez ce qu‘il est.
– Abd el-Kader
C’est le propre de l’amour véritable-
laisser une personne être ce qu’elle est vraiment.
– Jim Morrison
Arrêter de penser
laisser juste les choses arriver
Ceux qui combattent leur père et ceux qui cherchent toute
leur vie à le remplacer.
– Honoré de Balzac
Faire confiance n’est pas la même chose que d’attendre ou anticiper, cela signifie lâcher prise et sentir l’absence de manque.
– Bentinho Massaro
A travers ce long voyage à la découverte de soi, certains courent rapidement. D’autres marchent tranquillement. D’autres encore rampent péniblement. Mais un jour où l’autre, tous arriveront au bout du Sentier.
– Proverbe Chinois
être une chandelle ou le miroir qui la reflète.
– citation française Edith Wharton
Le plaisir de l’habitude est souvent plus doux encore que celui de la nouveauté.
– Marcel Proust
Quand vient la nuit, éteignez vos soucis et allumez vos rêves.
– Michael R. Roskam
Quand vient la nuit, éteignez vos soucis et allumez vos rêves.
– Michael R. Roskam
Un jour tout prendra un sens alors pour l’instant ris de la confusion, souris à travers tes larmes et rappelle-toi que tout arrive pour une bonne raison.
L’histoire :
Cycliste ordinaire, miraculé du cancer, champion absolu du Tour de France… et tricheur absolu. Lance Armstrong (Ben Foster), recordman du Tour de France cycliste qu’il a remporté à sept reprises de 1999 à 2005, fut au centre d’un énorme scandale sportif lié au dopage intensif. Après avoir longtemps nié les accusations et les rumeurs, il avoua la tricherie et fut destitué de tous ses titres. Le film s’inspire du travail et du livre écrit par le journaliste sportif David Walsh (Chris O’Dowd), du Sunday Times, l’un des rares professionnels à émettre des doutes sur » l’intouchable » héros du Tour.
En 1993, Walsh rencontre Lance Armstrong, à la Flèche Wallonne. Aux yeux de Walsh, le jeune cycliste texan est capable de gagner quelques étapes et courses de pur rouleur, mais doute que sa morphologie lui permette de tenir le rythme dans les grandes compétitions. Les premiers résultats professionnels d’Armstrong donnent raison à Walsh. Mais Armstrong veut gagner, à tout prix… Il convainc ses coéquipiers de l’équipe Motorola d’acheter de l’EPO, produit dopant légal en Suisse bien qu’interdit par les instances officielles du cyclisme professionnel. En 1996, la santé d’Armstrong se dégrade. Le diagnostic tombe, sans appel : il est atteint d’un très grave cancer des testicules, avec métastases se développant dans son cerveau. Il doit arrêter le cyclisme, et subit des mois de traitements et d’opérations très lourdes, qui le vident de ses forces. Rétabli, Armstrong ne s’avoue pas vaincu pour le cyclisme. Il prend contact avec un curieux médecin italien, Michele Ferrari (Guillaume Canet), soupçonné de diverses affaires liées au dopage à l’EPO. Ferrari, grâce à un programme de dopage élaboré sous contrôle scientifique permanent, fera de lui le champion qu’il voudrait être. Passé grâce à son agent Bill Stapleton (Lee Pace) de l’équipe Motorola à celle de Cofidis, il rejoint la modeste équipe US Postal dirigée par son ami Johann Bruyneel (Denis Ménochet). Transformé par le programme de Ferrari, Armstrong écrase le Tour de France 1999 qu’il remporte haut la main, et va truster les Maillots Jaunes et les premières places. Walsh, soupçonneux de la trop belle histoire du miraculé champion, recueille des témoignages de plus en plus accablants ; mais il est dangereux d’oser écorner la légende du champion miraculé, devenu une star et un homme d’affaires richissime. Le ver est pourtant dans le fruit. Un nouveau venu va rejoindre l’équipe US Postal : Floyd Landis (Jesse Plemons)…
Grandeur et déchéance d’un champion qui a fait de la tricherie sportive une success story et un business à l’américaine, avant de tomber… Lance Armstrong va rester pendant longtemps sans doute LA figure emblématique des dérives du sport moderne. Pour raconter l’histoire de cette incroyable fraude sportive, et gratter sous la surface des jugements trop faciles, il fallait bien un réalisateur intelligent, psychologue et expert de la comédie humaine. Bonne pioche : Stephen Frears, le vétéran britannique a du métier et de l’expérience en matière de récits de faux semblants (Les Liaisons Dangereuses, Les Arnaqueurs, Héros malgré lui ou The Queen sont là pour en témoigner), et The Program s’inscrit parfaitement dans son univers. Bonne idée, aussi, d’avoir débauché John Hodge, scénariste du cultissime Trainspotting, parfaitement à son aise donc quand il s’agit de raconter une histoire d’addiction sévère et de paranoïa généralisée. La rencontre entre Frears et Hodge fait un mixe intéressant pour suivre la trajectoire de Lance Armstrong, et de tous ceux qui ont été entraînés dans le sillage du » train bleu » US Postal sur le Tour de France cycliste.
Le récit s’intéresse évidemment moins aux courses qu’à ce qui s’est passé en coulisses. Hodge et Frears refusent de jouer les pourfendeurs outragés, et suivent à hauteur du regard de leur principal protagoniste les excès de sa course à la victoire. Le dopage n’avait pas attendu Armstrong pour faire parler de lui dans le sport cycliste ; entre les décès tragiques (de Tom Simpson à Marco Pantani), les rumeurs certifiées (Jacques Anquetil), les victoires suspectes (Pedro Delgado, 1988), ou la fameuse affaire Festina de 1998, évoquée dans le film, avec Richard Virenque contrôlé positif » à l’insu de son plein gré » (merci les Guignols), il y avait depuis longtemps anguille sous roche. L’ère Armstrong a révélé les proportions effarantes de la pratique du dopage » médicalisé » effectué avec la complaisance des uns et le silence gêné des autres… Armstrong n’était pas seul en cause, d’ailleurs, ses rivaux (Jan Ullrich, Ivan Basso, Alexander Vinokourov, etc.) ayant tous reconnu avoir pris des mêmes produits miracles. Et depuis, les organisateurs du Tour ont beau clamer le retour à une course propre, la suspicion règne toujours (le cas d’Alberto Contador, évoqué à mots couverts dans le film…). Le fameux » programme » du titre nous montre comment le champion texan et son médecin ont sciemment modifié les règles du jeu. Plus question d’aller bêtement dans une pharmacie suisse acheter les produits interdits (ce que nous montre Frears dans une savoureuse scène) ; la tricherie s’est ici effectuée sous strict contrôle médical impliquant toute l’équipe (aux ordres de son » boss « , et interdiction de refuser le traitement !), et le principal intéressé a transformé le Tour en franchise commerciale internationale. Bien malin celui qui oserait alors critiquer l’ancien malade du cancer devenu un modèle de combativité et de réussite financière… Le plus stupéfiant dans l’affaire restant que tout le monde ou presque ait dit amen à la victoire du champion improbable. Le Tour de France est sans pitié pour les coureurs, qu’ils soient » clairs » ou » chargés « . Les statistiques étaient révélatrices : avant sa maladie, Armstrong avait abandonné trois fois, remporté seulement deux étapes de rouleurs, et fini une seule fois à la 36ème place. Une fois remis sur pied selon la méthode du docteur Ferrari : sept victoires consécutives, toutes ressemblant à l’édition précédente ! Les quelques voix dissidentes, comme celle de David Walsh (excellent Chris O’Dowd), ou des coureurs osant rompre l’omerta, seront vite étouffées.
On peut faire confiance au grand directeur d’acteurs qu’est Frears pour observer et décortiquer les travers de ses protagonistes, et dresser des portraits plus vrais que nature de ceux-ci. Peu connu du grand public, Ben Foster est impressionnant dans le rôle d’Armstrong, ayant poussé la préparation au rôle à l’extrême puisqu’il a reconnu avoir pris lui-même des produits dopants pour avoir la masse physique de l’ancien cycliste ! Au-delà de ce risque très » Actor’s Studio « , Foster a bien cerné et traduit la complexité de son personnage, un conquérant doublé d’un grand paranoïaque. C’en est presque inquiétant, tant Foster a su s’approprier l’allure très » cyborg » de l’ancien champion dans ses apparitions publiques. Ce masque inquiétant, cependant, tombe parfois, brièvement : une très belle scène, par exemple, face à un enfant cancéreux et condamné, ou Armstrong décide de se taire ; il arrête son » show » et fait enfin preuve de compassion. Il est humain, pendant quelques instants, et affiche un visage bien différent de son comportement habituel, notamment dans la curieuse relation qu’il entretient avec son successeur désigné, Floyd Landis. Une drôle d’histoire : Landis, Maillot Jaune 2006 destitué, est un Mennonite pratiquant convaincu – élevé dans l’application stricte du culte Protestant, qui garantit l’Enfer éternel pour les menteurs et les criminels… On imagine sans peine le dilemme du nouveau venu dans l’équipe US Postal, partagé entre son admiration pour le champion texan, sa complicité dans la pratique du dopage, et la foi de ses pères. Vu la façon dont le film montre sa prise de conscience qui va faire éclater le scandale, on peut se demander si Armstrong n’a pas inconsciemment choisi d’intégrer Landis pour l’aider à arrêter son cirque infernal et expier ses fautes. La supercherie révélée, il ne restera au final qu’au champion tricheur qu’à plonger dans un plan d’eau au nom très symbolique, » Dead Man’s Hole » ( » le Trou de l’Homme Mort « ), avant de renaître, peut-être. La route pour la rédemption est cependant encore bien longue.
On appréciera aussi, au passage, l’humour et l’ironie dont est toujours capable Frears, dès qu’il s’agit de décortiquer les aléas de la célébrité et de la médiatisation. Pas étonnant dans ce cas de voir réapparaître ce bon vieux Dustin Hoffman, le Héros malgré lui du cinéaste britannique, le temps de quelques scènes. Il est toujours là pour rappeler que l’Amérique (et le reste du monde) croit facilement aux histoires trop belles pour être vraies… et que les médias adorent fabriquer les héros de ce type. Il y a, dans The Program, une morale impitoyable et universelle à ce sujet : on n’a sans doute pas les héros que l’on souhaite avoir, mais bien ceux qui nous ressemblent…
Nous sommes chacun notre propre démon et nous faisons de ce monde notre enfer.
– Oscar Wilde
Ils oublieront
Les gens oublieront ce que tu as dit,
ils oublieront ce que tu as fait.
mais ils n’oublieront jamais ce que tu leur as fait ressentir.
– Maya Angelou
Tu es partie
C’est pas parce que t’as pas de coeur que tu devais repartir avec le mien.
-Ridsa
Tu m’as pris tout mes rêves puis arraché mes ailes
J’ai l’coeur sur la main ce qui explique pourquoi elle saigne
Peut importe ce qu’ils peuvent dire, c’est pas eux c’est moi qui souffre
Comment respirer la joie d’vivre, quand t’es à bout de souffle
Rassure toi j’vais mal, j’comprends pas tout ça va trop vite
J’nous voyais consommer l’amour
J’passe d’un peu saoule à complétement ivre
J’passe de bébé à mon ex
Aujourd’hui j’suis qu’un souvenir petit sourit à la vie
Crois moi elle te fera souffrir
Car ici plus t’es gentil plus on t’détruis, déter
J’repense à nous quand tu m’disais qu’j’étais ta vie, ta perle
Mais putain d’flûte c’était qu’du son moi qui t’croyais, sincère
Tu t’rends pas compte c’est dans un coeur que ta disquette, s’insert
J’pensais pas tomber d’aussi haut, j’attends l’attérissage
Ma chute est longue, dur en gros impossible de guérir sa
T’es partie, tu laisse de bête cicatrice
Tu m’as blessé à vie, j’espère qu’tu réalise
Tu es partie laissant que des souvenirs
Sache que certain cauchemar ne meurt jamais
J’ai l’coeur meurtrit j’ai même perdu l’sourire
J’veux un nouveau départ mais ton image m’arrête
Hè hè
Ho ho
Est-ce que tu m’entends ? Est-ce que tu m’aimais vraiment ?
Hè hè
Ho ho
Le temps n’efface rien, surtout pas mes sentiments
J’me sens vide, dans mon corps y a plus rien
C’est pas parce que t’as pas d’coeur qu’tu d’vais r’partir avec le mien
Souviens toi d’tout ces moments cette complicité hors norme
Si l’argent fait l’bonheur, avec toi j’roulais sur l’or
Putain, j’voyais une route longue et là je suis dans l’fossé
Ma vie fait des tonnaux j’me sens cabossé
Du mal à respirer, à croire que j’suis asthmatique
Depuis qu’t’es partie mes sentiments sont statique
La vérité, c’est que j’dors plus je ne ris plus je ne sors plus je ne vis plus
La vérité, c’est que j’en peux plus
Mais j’garde la foie j’souris aux gens, l’air de rien,
Je serre les dents c’est difficle de faire semblant, que tout va bien,
J’en ai versé des larmes, passé des tas d’nuit blanche
Ma vie est instable car c’est vers toi que mon coeur penche
Cette histoire m’fais perdre le nord, j’suis à l’ouest
Mon coeur n’a plus de munition, j’suis à sec
Tu es partie laissant que des souvenirs
Sache que certain cauchemar ne meurt jamais
J’ai l’coeur meurtrit j’ai même perdu l’sourire
J’veux un nouveau départ mais ton image m’arrête
Quand on m’parle de toi, j’ai les yeux qui brillent
J’me relève j’fais des efforts même si j’ai perdu l’équilibre
Ton sourire ta voix, nos milliers d’délires t’as tout cassé
Tu m’as tué parce que t’as commis un délit,
Avec le r’cule j’réalise, tout s’qu’on va rater
A croire qu’j’vaux des millions, elle voulait juste me gratter
J’étais aveugle dans mon monde, j’écoutais personne
J’les ai tous envoyé chier, aujourd’hui j’dois m’refaire seul
J’repense à toi, à nous, sans cesse, j’m’écroule
J’avance sans destination en feu d’détresse, mais j’roule
On m’dit reste fort sans s’mettre à ma place
J’essai d’garder la forme sache que personne te remplace
Au fond j’t’en veux à mort j’comprends pas ta décision
J’essai d’réanimer mon coeur h24 sous perfusion
Et si un jour tu r’viens tu tomberas sur l’répondeur
Mais j’reste un homme bien j’te souhaite beaucoup d’bonheur
Tu es partie laissant que des souvenirs
Sache que certain cauchemar ne meurt jamais
J’ai l’coeur meurtrit j’ai même perdu l’sourire
J’veux un nouveau départ mais ton image m’arrête
Hè hè
Ho ho
Est-ce que tu m’entends ? Est-ce que tu m’aimais vraiment ?
Hè hè
Ho ho
Le temps n’efface rien, surtout pas mes sentiments
Tu es partie laissant que des souvenirs
Sache que certain cauchemar ne meurt jamais
Ne regrette pas de vieillir, c’est un privilège refusé a beaucoup
– Albert Camus
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Lorsque la porte de l’amour est fermée, passe par celle de l’or.
– Proverbe arabe français
Les rêves sont les parents du désirs
– Sacha Guitry
Le mental intuitif est un don sacré et le mental rationnel est un serviteur fidèle. Nous avons créé une société qui honore le serviteur et a oublié le don.
– Albert Einstein
Dicton français sur l’amour
que le bonheur était la clé de la vie.
Quand je suis allé à l’école, ils m’ont demandé
ce que je voulais être quand je serais grand.
J’ai répondu heureux.
Ils m’ont dis que je n’avais pas compris la question.
J’ai répondu qu’ils n’avaient pas compris la vie..
– John Lennon