Author Archives: Admin
Une femme on te la vole pas
Une femme on te la vole pas
Une femme c’est comme une clé, On te la vole pas tu la perds part manque d’attention
Couverture Facebook Saint Valentin
Couverture Facebook Saint Valentin
Je t’aime bien plus que le lapin n’aime ses carottes
Je t’aime bien plus que le lapin n’aime ses carottes
C’est beaucoup alors s’il te plait ne tire pas sans me laisser une chance.
https://www.amway.ca/LyneCarignan
On vous donne seulement une petite étincelle de folie vous ne devez pas le perdre
On vous donne seulement une petite étincelle de folie vous ne devez pas le perdre
» Le problème est que Dieu a donné à l’homme un cerveau et un pénis et seulement assez de sang pour faire
fonctionner un à la fois. «-Robin Williams
Le peintre doit s’efforcer d’être universel.
Bonne année chinoise à tout le monde
Bonne année chinoise à tout le monde
Nouvel An chinois
Je vous souhaite un heureux holi
Je vous souhaite un heureux holi
que votre vie se remplisse de couleur
Happy Holi le triomphe du mal par le bien
Happy Holi le triomphe du mal par le bien
Laissez votre âme élargir, laissez votre coeur tendre la main à d’autres dans l’amour et la chaleur généreuse, et une grande et durable sera votre joie et de toute prospérité viendra à vous.
-Sagesse indienne / Proverbe indien
TRIOMPHE DU MAL PAR LE BIEN
Chaque année, les gens en Inde saluent le printemps d’une manière bien originale: » Holi « est la fête des couleurs et représente une des festivités les plus importantes du pays. Pendant cette fête, on ne célèbre non seulement le passage de l’hiver au printemps, mais selon la croyance hindou aussi le triomphe du mal par le bien – et tout ceci se fait d’une façon haute en couleur. Les gens se jettent de la poudre intensément colorée et l’utilisent afin de se peindre.
CE JOUR-LÀ, TOUS LES GENS SONT ÉGAUX
Les différences entre les castes, les religions ou les origines disparaissent; les bornes entre les couches sociales, entre les âges ainsi que les richesses s’écroulent. Cette journée, tous les êtres humains sont égaux. La richesse culturelle, la joie, le respect mutuel et la tolérance rendent la fête Holi inoubliable chaque année!
Le Festival des Couleurs veut reproduire cette tradition et cette atmosphère indienne en Europe. Le premier Holi (Festival of Colors) a immédiatement connu un grand succès, les visiteurs à Berlin étaient très enthousiastes. Les médias allemands se sont également exprimés d’une manière très favorable vis-à-vis du festival :
Manifestement, la fête Holi remplit une volonté, indépendante de religions, de vivre une existence plus authentique
En mars, se déroule Holi, fête incontournable Indoue
source: http://www.holifestival.com/fr/fr/esprits-holi
http://www.festivalofcolors.us
the last jedi Star Wars
the last jedi Star Wars
le prochain film de Star Wars s’appellera The Last Jedi
Le prochain film Star Wars aura pour titre Star Wars The Last Jedi, d’après une déclaration des studios Disney accompagnée d’une affiche. La date de sortie est fixée au 15 décembre 2018. Le nouveau film de la franchise sera centré sur les personnages originaux Luke Skywalker et la Princesse Leia.
Avant d’avoir un titre officiel, le film s’appelait simplement Episode VIII. Rian Johnson réalisera le film et informe que toutes les scènes incluant Carrie Fisher ont été tournées avant son décès tragique et inattendu.
Les studios Disney n’ont pas encore communiqué sur le scénario de The Last Jedi mais l’on sait déjà que le casting inclura Daisy Ridley, déjà présente dans The Force Awakens dans le rôle de Rey, mais aussi John Boyega (Finn), Adam Driver (Kylo Ren) et Lupita Nyong’o (Maz).
Regarde une autre belle journée
Regarde une autre belle journée
Les gens les plus heureux dépensent leur argent pour des expériences et non des biens
Les gens les plus heureux dépensent leur argent pour des expériences et non des biens
Les gens les plus heureux
Les gens les plus heureux n’ont pas tout ce qu’il y a de mieux. Ils font juste de leur mieux avec ce qu’ils ont.
Les gens qui dépensent leur argent dans des expériences plutôt que dans des choses matérielles sont plus heureux selon une étude !
Nous sommes tous à la recherche du bonheur, cela ne fait pas de doute. Par tous les moyens nous souhaitons une vie menée dans l’épanouissement.
Mais comment y parvenir et par quels procédés ? Quels moyens ? Beaucoup diront que pour réaliser certains rêves il faut des moyens économiques. Ce n’est pas faux : l’argent contribue en partie à notre bonheur au final, non ? Mais la vraie question à se poser est de savoir comment utiliser cet argent, même quand le revenu est limité, afin qu’il nous rende réellement heureux ?
Des études ont montré qu’au final, nous sommes beaucoup plus attachés à des choses physiques. On est beaucoup plus matérialistes et on pense que l’on sera beaucoup plus heureux en détenant des objets parce que, étant plus longtemps à nos côtés, ils contribueront à notre bonheur plus longtemps. Mais des recherches récentes ont réussi à prouver que finalement ce désir d’acquisition ne serait pas la bonne solution.
Un psychologue de l’université de Cornell, Thomas Gilovich, a étudié la question du rapport entre bonheur et argent. Suite à cette longue étude, il conclut ceci : « L’un des ennemis du bonheur, c’est l’adaptation. On achète des choses pour être davantage heureux, et on y arrive. Mais juste pour un temps ! Les nouvelles choses qu’on intègre dans nos vies sont excitantes pour nous au début, mais ensuite… On y est simplement habitué. »
En d’autres termes, ce que suggère Thomas Gilvonich, c’est qu’au lieu par exemple d’investir dans le dernier iPhone pour satisfaire son bonheur, la meilleure solution serait peut être de tenter des expériences comme des expositions ou encore des voyages. En bref, des choses immatérielles mais qui font tout de même un bien fou car elles font passer un bon moment.
Ces recherches, effectuées par Thomas Gilvonich et un groupe de chercheurs, ont ainsi constaté que oui, le bonheur peut parfois s’acheter (on ne compte bien évidemment pas l’amour et l’affection) mais dans ces cas là il n’est durable que sur un point. Par exemple, le fait que s’adapter à une nouvelle acquisition ne nous rende pas si heureux vient d’une recherche faite sur des gens à qui l’on a demandé de raconter comment ils se sont épanouis en ayant acheté quelque chose de matériel et également en ayant investi dans des expériences quelconques. La conclusion a été la même pour tous: l’acquisition matérielle leur a procuré une satisfaction éphémère tandis que leurs dépenses financières sur divers expériences les ont beaucoup plus marqué.
C’est assez paradoxale au final de se dire qu’un objet qu’on peut garder longtemps ne nous satisfait pas tant que ça dans notre bonheur, n’est-ce pas ? A vrai dire, c’est s’habituer à la présence de cet objet qui nous fait oublier la chance ou le bonheur de le posséder. En comparaison aux expériences moins matérielles comme les voyages, les spectacles ou encore les expositions, le Dr Gilvonich a expliqué : « Nos expériences prennent une plus grande place dans nos esprits que nos objets. On pourra toujours penser que la plupart des choses que nous possédons font partie de notre identité, mais au final ce sont nos expériences qui nous définissent, qui nous résument. »
Pour aller plus loin, le psychologue explique que même des expériences qu’on peut considérer comme négatives (et qui n’ont donc pas contribué à notre bonheur) sont plus bénéfiques qu’un bien matériel. Car, en effet, raconter quelque chose du passé et avec plus de recul pourra peut être nous paraître drôle par moment. D’autant plus qu’il s’agit de partager des expériences, qu’elles soient mauvaises ou non, et donc de communiquer avec autrui. Finalement, ceci serait donc beaucoup plus épanouissant que de raconter quelle voiture on a acheté par exemple. Car, d’après l’étude, l’enthousiasme de raconter des anecdotes n’est-elle pas inépuisable au fond ?
Être matérialiste c’est normal, au fond, nous sommes humains. L’idéal serait peut être de savoir contre-balancer avec d’autres expériences moins portées sur le fait de posséder quelque chose. Que pensez-vous de cette étude ? Si l’argent fait le bonheur, pensez vous être plus épanouis en vous achetant le dernier produit Apple par exemple ou en investissant dans un voyage ou un saut en parachute ?
Source : Fastcoexist.com
Donne à celui que tu aimes
Donne à celui que
tu aimes
Des ailes pour voler
des racines pour revenir
et un tas de raisons pour rester
Il n’y a que deux façons de vivre sa vie
Il n’y a que deux façons de vivre sa vie
L’une en faisant comme si rien n’était un miracle, l’autre en faisant comme si tout était un miracle.
– Albert Einstein
Et si c’était ça le bonheur
Et si c’était ça le bonheur
Et si c’était ça le bonheur,pas même un rêve,pas même une promesse, juste l’instant
-De Delphine de Vigan
Le génie, comme le cèdre du Liban
Le génie, comme le cèdre du Liban
Le génie, comme le cèdre du Liban, pousse sur les cimes,l grandit et se renforce dans la tempête et non dans
les bas-fonds.Proverbe cède
JK Rowling inspirante
JK Rowling inspirante
Plusieurs années après la fin de la saga Harry Potter, les fans tentent encore d’élucider les mystères dont elle recèle. Quand l’un d’entre eux évoque l’homosexualité de Dumbledore, J.K. Rowling lui offre une réponse d’anthologie !
La saga a beau être terminée, elle fait toujours autant parler. Harry Potter est le succès littéraire et ciné de la dernière décennie. Des ados du monde entier ont été fascinés par les aventures du jeune sorcier et de ses deux amis, qu’ils ont eu le plaisir de voir grandir en même temps qu’eux.
Depuis la diffusion du dernier film il y a près de 4 ans, l’intérêt des fans pour Harry Potter ne faiblit pas. Des parodies complètement barrées voient le jour certains internautes s’interrogent sur les mystères de la saga.
Il y a quelques années, J.K Rowling – l’auteur des livres de la saga – révélait l’orientation sexuelle du charismatique Dumbledore. » Pour être honnête avec vous… J’ai toujours pensé que Dumbledore était gay « , avait-elle expliqué. Les interrogations subsistent quant à l’homosexualité de Dumbledore. Pourquoi n’est-elle pas plus explicitée ? Sur Twitter, un fan a eu envie de poser la question à la romancière.
» Mille mercis d’avoir écrit la saga Harry Potter. Je me demande pourquoi vous avez dit que Dumbledore était gay, parce que rien ne montre qu’il l’est « , a-t-elle demandé. Très active sur le réseau social, la principale intéressée s’est fendue d’un tweet qui n’est pas passé inaperçu.
» Peut-être parce que les homosexuels sont tout simplement des personnes normales ? « , s’est exprimée J.K. Rowling. Ana Kocovic, qui était à l’origine de la question, a montré qu’elle était de bonne foi : » magnifique réponse… Vous avez totalement raison ! Vous êtes une telle source d’inspiration « .
Citations JK Rowling inspirante
On peut trouver le bonheur
On peut trouver le bonheur même dans les moments les plus sombres… Il suffit de se souvenir d’allumer la lumière.
-Dumbledore, dans le film Le Prisonnier d’Azkaban
…………….
Tout est possible
Tout est possible, du moment qu’on a assez de cran.
-Ginny, Harry Potter et l’Ordre du Phénix
…………….
Ne jamais avoir honte
Je suis ce que je suis et je n’en ai pas honte. ‘Ne jamais avoir honte’, voilà ce qu’il disait, mon vieux père. Il y en a toujours qui te reprocheront quelque chose, mais ils ne valent pas la peine qu’on y fasse attention.
-Hagrid
…………….
Je ne cherche aucun ennui
Je ne cherche aucun ennui. Généralement, ce sont les ennuis qui me trouvent. «
-Harry Potter
…………….
Si tu veux cerner la vraie nature de quelqu’un
Si tu veux cerner la vraie nature de quelqu’un, regarde la façon dont il traite les personnes qui lui sont inférieures et non pas ses égaux
-Sirius Black (Harry Potter et la Coupe de Feu)
…………….
Ce qui compte
Ce qui compte, ce n’est pas la naissance, mais ce que l’on devient.
-Dumbledore
…………….
Accepter la réalité
Il est nécessaire de comprendre la réalité avant de pouvoir l’accepter et seule l’acceptation de la réalité peut permettre la guérison.
-Dumbledore
…………….
L’imagination
L’imagination,c’est ce qui nous rend capable de comprendre des choses que nous n’avons jamais vécu.
-JK Rowling
…………….
Se servir de ses échecs pour grandir
Vous échouerez, c’est inévitable. le plus important c’est comment vous vous servez de vos échecs
-JK Rowling
…………….
Vivre
Ça ne fait pas grand bien de s’installer dans les rêves en oubliant de vivre.
-Dumbledore, (Harry Potter à l’école des sorciers)
–
N’ayez jamais peur de la vie
N’ayez jamais peur de la vie
N’ayez jamais peur de la vie, n’ayez jamais peur de l’aventure, faites confiance au hasard, à la chance, à la destinée. Partez, allez conquérir d’autres espaces, d’autres espérances. Le reste vous sera donné de surcroît.
-Henry Monfreid
…..
« Je suis décidé à tout perdre plutôt que de donner aux douaniers la satisfaction de m’avoir. » En 1913, sur les bords étincelants de la mer Rouge, Henry de Monfreid s’est fait trafiquant d’armes. Avec son boutre de planches à la grande voile arabe triangulaire, il doit livrer à des Abyssins dix caisses de fusils Gras qu’il a arrimées dans la cale. A Djibouti, les autorités coloniales craignent qu’on arme des rebelles : il est pris en chasse par le bateau des douanes, le daoueri, un voilier à la grosse coque blanche, plus long et plus véloce. Il s’échappe à la faveur de la nuit, saute les récifs grâce à la marée et mouille devant Maskali, l’île de sable rase où il a sa maison. Mais au matin, il aperçoit le mât du daoueri qui pointe derrière une dune comme une aiguille menaçante. Il se jette à bord et appareille. Nouvelle poursuite vent arrière sur les vagues bleues frangées d’écume du golfe de Tadjourah. Le long de la côte Nord coupée de falaises noires et de criques aux eaux cristallines, il voit dans son sillage la voile du daoueri grossir de mille en mille. La douane gagne sur lui, inexorablement. Dans une demi-heure, il sera pris. Mais derrière un cap qui le cache à ses poursuivants, au milieu d’une baie lumineuse, un autre voilier est à l’ancre. C’est un zaroug, le boutre rapide des contrebandiers qui ramassent le bois à brûler sur une côte pour le revendre sur l’autre. En une minute, Monfreid a son plan. Il pique sur le zaroug et lui crie que la douane arrive. Les voleurs de bois appareillent sans demander leur reste. Alors Monfreid démâte et saborde son bateau près du rivage. Un trou dans la coque : le boutre s’enfonce dans l’eau turquoise. Quand le daoueri double le cap, il voit une baie vide et une voile blanche qui cingle à l’horizon. Les douaniers la prennent pour celle de Monfreid. Ils se lancent à sa poursuite : sauvé !
C’est une fausse joie. Comme le vent forcit, la voile du daoueri se déchire. Il revient dans la baie pour réparer. Nouvelle frayeur : en s’approchant de la plage, les douaniers, voyant l’épave du boutre, vont éventer la ruse. Monfreid débarque avec son équipage. Il a distribué des fusils que les marins indigènes tiennent à bout de bras en marchant dans l’eau. Quelques espars du boutre émergent encore. Le daoueri vient sur eux. Monfreid et ses hommes sont cachés dans les broussailles. Ils tirent une salve en ayant soin de manquer leur cible. Peu soucieux de jouer les héros, les fonctionnaires se couchent sur le pont. Nouvelle salve. Les douaniers virent de bord et envoient un foc qui les tire vers le large. Le daoueri pusillanime s’éloigne, laissant le trafiquant rusé à ses affaires. Avec des sacs de riz qui gonflent dans l’eau, Monfreid occulte la voie d’eau. Il écope avec un seau et renfloue son bateau. La nuit suivante, il peut livrer ses fusils et toucher le prix de son odyssée.
Quinze ans plus tard, Monfreid publie chez Grasset le récit de cette aventure et de bien d’autres, qui forment les chapitres tumultueux de ces mémoires d’un frère de la côte somalienne. Les Secrets de la mer Rouge est un best-seller, suivi au fil des années par vingt romans de la même veine, qui sont autant de classiques des années 30. Fils d’un aristocrate riche et bohème, Henry de Monfreid avait commencé médiocrement dans la France de la Belle Epoque. Fantasque et rêveur, amoureux de la mer qu’il a fréquentée tôt sur le yacht familial, il manque ses études d’ingénieur et doit s’employer pour vivre. Il est colporteur, chauffeur de maître, contrôleur de lait chez Maggi. Il se lance dans l’élevage de poulets : les volatiles meurent en quelques semaines. Il monte une laiterie : les inondations de 1910 isolent les installations, il fait faillite.
Frustré, désargenté, il ne voit de salut que dans le grand large. Il s’embauche dans une société de négoce du café basée… en Ethiopie. La vie coloniale lui convient mieux, dans cette société à la fois hiérarchique et affranchie des conventions. Il commande ses boys, négocie avec les chefs de tribu, fume de l’opium, se fait éventer avec un panka et prend une femme indigène, mi-épouse mi-esclave, en petit nabab blanc révéré par des Africains soumis. Au bout de six mois, le négoce l’ennuie. Il part à Djibouti pour se rapprocher de l’océan. Là, c’est la révélation. Aux portes de la mer Rouge, il sent le grand vent de l’aventure qui souffle du Nord. Il achète un petit boutre, le Fath-el-Rahman, avec lequel il écume les côtes désertes ou hostiles de l’Erythrée et du Yémen, mouillant dans les criques isolées, louvoyant parmi les récifs de corail, étalant les coups de vent de sable, explorant les îles désertes brûlantes de soleil sur la mer bleu azur. Il tente la pêche aux perles, mais les perles sont rares. Alors, fort de son expérience maritime, il se fait contrebandier. A la tête d’un équipage indigène, il achète et vend des armes, du haschisch ou de la cocaïne. Il se mélange à une faune de colons avides, de fonctionnaires désabusés, de chefs de tribu retors, de pêcheurs faméliques et de marchands d’esclaves. Il en ramène une inépuisable provision d’histoires qui seront comme son capital africain. Tirés de sa vie en mer Rouge, les romans qu’il écrit à partir de 1931 sont vifs, pittoresques, menés comme un voilier ardent qui chevauche les lames. On y trouve le vent du large, les embruns d’une mer inconstante, le sens de l’honneur, un certain humanisme teinté de tolérance, un regard aigu sur l’ordre colonial que Monfreid ne conteste pas mais dont il réprouve les abus. On y trouve aussi les préjugés de l’époque, un racisme tranquille, la foi dans la supériorité naturelle de l’homme blanc et le cynisme du trafiquant qui gruge ses clients ou qui vend des armes aux esclavagistes. Il a plus d’amis chez les indigènes que chez les Blancs, il se convertit à l’islam et adopte le mode de vie à la fois licencieux et frugal d’un cheikh au profil d’aigle et aux affidés obséquieux.
A la fin des années 30, Monfreid, l’anarchiste réactionnaire, prend fait et cause pour l’Italie qui envahit l’Ethiopie. Il admire Mussolini, en qui il apprécie l’énergie, le romanesque et son dédain des démocraties terre à terre. Juché sur sa réputation d’expert de la Corne de l’Afrique, il se fait propagandiste du fascisme, tient des conférences en faveur du Duce, envoie aux journaux de Paris des grands reportages où il loue l’oeuvre coloniale des Italiens et oublie de parler des gaz de combat que l’armée italienne utilise contre les soldats du Négus armés de pétoires. Au milieu de la guerre, les Italiens font retraite devant les troupes anglaises et les Français libres. Monfreid est arrêté et jeté en prison pour intelligence avec l’ennemi. Libéré, il se retire au Kenya puis en France, où ses errements politiques sont peu à peu oubliés. Ainsi il a louvoyé entre les écueils de l’histoire, passant de la littérature d’aventure, libre et sauvage, à la servilité envers un dictateur un peu bouffon, comme il louvoyait sur son boutre entre les récifs meurtriers et les horizons rêveurs.
Citations Henry Monfreid
Hymne a la mer
Le malheur n’use et ne ravage
Que ceux qui s’arment contre lui
Sachons en supporter l’outrage
Pour mieux combattre l’ennui.
-Henry Monfreid (Hymne a la mer 2012)
…..
Aventure de la mer rouge
On hait dans la proportion où l’on peut aimer ; ce sont les deux pôles entre lesquels combattent, s’exaltent ou se détruisent nos facultés affectives
-Henry Monfreid (Aventures en mer rouge 1989)
…..
L’argent peut procurer n’importe quoi, c’est une force aveugle ; aussi n’avons-nous pas, pour ce qu’il procure, cet amour et ce respect que seul nous donne le fruit direct de notre effort.
-Henry Monfreid (Aventures en mer rouge 1989)
Hier, j’étais intelligent et je voulais changer le monde
Hier, j’étais intelligent et je voulais changer le monde
Aujourd’hui je suis sage et je me change moi-même.
–Djalâl ad-Dîn Rûmî
Djalâl ad-Dîn Rûmî
Date de naissance: 30 septembre 1207
Décès: 17 décembre 1273
Profession: Poète
Biographie: Djalāl ad-Dīn Muḥammad Rūmī ou Roumi est un mystique persan qui a profondément influencé le soufisme. Il existe une demi-douzaine de transcriptions du prénom Djalal-el-dine,
« majesté de la religion ». Il reçut très tôt le surnom de Mawlānā, qui signifie « notre maître ».
بالأمس كنت ذكيا، وأردت أن تغير العالم
اليوم أنا حكماء وأغير نفسي.
جلال الدين الرومي
La peur chez l’enfant
La peur chez l’enfant
Anxiété et phobies sont des symptômes qui peuvent être rencontrés dans toutes les sphères de la psychopathologie. Nous nous intéressons ici à celles qui se manifestent chez une personne dont le psychisme est organisé sur un mode névrotique chez qui ces symptôme vont prendre une importance dominante.
Clinique
L’enfance
L’angoisse est très fréquente dans l’enfance, mais toutes les angoisses ne se ressemblent pas. L’angoisse névrotique, c’est à dire qui est en rapport avec la structuration névrotique de la personnalité, apparaît vers quatre ans. Elle se manifeste par des crises anxieuses associées à une expression somatique (étouffement, spasmes digestifs) ou des peurs comme la peur du noir ou des autres enfants.
Ces peurs, vagues et variables, plus tardivement s’organisent en phobies permanentes (des gros animaux, de l’école par exemple). Souvent des terreurs nocturnes, des cauchemars, précèdent l’installation de la phobie. On a tendance à qualifier abusivement de phobie toutes les peurs de l’enfant. Ces troubles nocturnes produisent des insomnies, une énurésie, qui peuvent alarmer les parents.
La famille est généralement stable, structurée et structurante, mais un peu trop. Elle surprotège l’enfant.
Les phobies et l’angoisse parfois disparaissent ou au moins s’atténuent vers dix ans pour reparaître au début de l’adolescence ou plus tard à l’âge adulte. Toutefois cela n’est pas systématique et l’on trouve des sujets pour lesquels les phobies et l’angoisse sont constantes depuis l’enfance.
Du point de vue du caractère, l’enfant est craintif, timide, inquiet, avec une tendance à l’évitement et à la fuite. Il cherche à passer inaperçu, s’isole de ses camarades, évite les conflits. Ce caractère inquiet est généralement présent dès la seconde enfance et perdure pendant l’adolescence et à l’age adulte.
Caractère
Le sujet adulte agit peu et se limite constamment. Il a peur de mal faire, de se tromper ou bien considère que le destin rend inutile ses initiatives. La tendance au repli est fréquente : la personne a une vie refermée, elle diminue ses contacts.
Le phobique a une tendance à l’introspection sous forme d’une mentalisation douloureuse des problèmes associée à des rationalisations. Il est fataliste considérant que l’on doit se contenter de ce que l’on a. Timide et se sentant moins important que les autres, il se valorise peu.
Le sujet se sent fatigable, il a le sentiment d’avoir peu d’énergie, peu de ressources. Tout ceci entraîne une absence de réalisations satisfaisantes que ce soit dans le domaine professionnel ou relationnel. Il s’ensuit un vécu de frustration.
Les conduites
L’activité pratique et professionnelle est limitée, mais peut être efficace. La personne a peu d’ambition, ne prend pas d’initiative et évite de se faire remarquer. Elle se laisse parfois dominer par les collègues ou les amis et en souffre. Il y a une tendance à la passivité au fatalisme.
La personne a peu de contacts car le rapport à l’autre est pénible. Se sentant inférieure et ne sachant pas bien se défendre elle a tendance à fuir pour éviter les désagréments. Cela peut aboutir à la solitude.
Il y a générale une inhibition et peu d’appétence sexuelle qui entraîne une diminution de la vie sexuelle. Les relations sexuelles sont insatisfaisantes et rares, parfois remplacées par la masturbation, elle même culpabilisée.
L’angoisse
L’angoisse est une réaction associant des phénomènes somatiques et mentaux. Dans le cas d’une personnalité névrotique, l’angoisse est d’une intensité variable, mais elle ne prend jamais une forme déstructurante.
Elle se manifeste typiquement sous forme d’une anxiété chronique. Le fond permanent d’anxiété se traduit par une inquiétude permanente avec hyperémotivité, une instabilité, et des difficultés d’attention. Sur le plan somatique on note une tension musculaires, des somatisations fonctionnelles de type neurovégétatif : transpiration, sécheresse de la bouche, gène cardio-respiratoire. La personne est tendue, aux aguets, dans l’attente de quelque chose.
Il peut y avoir un retentissement fâcheux sur le sommeil qui entraîne une fatigue et une baisse de l’efficacité. Le risque de déclenchement de l’angoisse provoque une surangoisse car le sujet craint qu’elle ne se déclenche à nouveau.
On trouve aussi des crises d’angoisse aiguë. La crise se présente le plus souvent comme une exacerbation du fond anxieux mais elle est parfois inaugurale. Elle débute de manière précise. Elle est rapportée à un incident et fait après-coup l’objet de rationalisations plus ou moins élaborées. La personne est saisie d’une crainte extrême associée à l’idée d’une catastrophe imminente. Celle-ci est parfois précisée (crainte de la mort, de la folie). Il peut y avoir une sidération de toute mentalisation, un vide, une incapacité à penser à quoi que ce soit, une perte des repères.
Les aspects somatiques fonctionnels sont constants et souvent au premier plan. Ce sont des troubles neurovégétatifs respiratoires (sensation d’étouffement) ou cardio-vasculaires (précordialgies, palpitations, lipothymies, syncope). Parfois ce sont des signes digestifs (estomac noué, nausées, diarrhée, coliques) ou urinaires ( miction impérieuse, spasmes). Les aspects neuro-musculaires et neuro-sensoriels sont fréquents. Il s’agit de dysesthésies, de paresthésies, de tétanie, de paralysies.
Les phobies
La phobie proprement dite est la peur irraisonnée d’un objet précis (chose, animal, personne, situation). La présence de cet objet provoque une réaction anxieuse d’une intensité variable. La phobie est un symptôme qui présente des caractère particuliers. L’objet anxiogène est précis, extérieur au sujet et qui n’est dangereux que pour le sujet (pas pour les autres). L’angoisse peut être évitée par évitement de l’objet, elle est irraisonnée et irréductible. Même si la personne se rend compte du caractère immotivé de sa peur elle ne peut l’enrayer. Il est parfois possible de contrôler les conséquences (fuite, affolement) mais l’angoisse persiste. Les phobies une fois installées sont généralement stables
Trois méthodes sont utilisées pour lutter contre les phobies. – L’évitement, de l’objet ou de la situation, est la mesure la plus efficace et la plus fréquemment adoptée. – La réassurance se fait par la simple présence de quelqu’un ou de telle personne en particulier, la proximité d’un refuge (maison, boutique, médecin). – La rationalisation est un système intellectuel pour expliquer que la peur est justifiée et l’évitement normal. Elle minimise le caractère inadapté de la réaction phobique et montre qu’il n’y a donc pas à s’en occuper. En l’absence de rencontre forcée avec l’objet phobogène et avec des mesures de réassurances et des rationalisations, les phobies peuvent rester longtemps masquées.
Les phobies sont en nombre limité (une ou deux). Elles peuvent concerner l’espace trop grand (agoraphobie qui est la peur des espaces vides) ou trop petit (claustrophobie qui est la peur des endroits clos). Elles peuvent concerner des animaux, ou grands (chevaux), ou petits (insectes), ou particuliers (serpents, phasmes). Elles peuvent concerner des situations (école, bureau), des lieux (gare, boutique), des personnes (telle personne en particulier, plus généralement le public). Ce peut être des aspect du corps (sang, fèces). Il existe des formes intermédiaires avec les obsessions.
L’évolution
La tendance anxieuse reste ce qu’elle est au fil du temps. Il y a souvent une accentuation du repli de l’isolement car la personne devient encore plus craintive et elle n’est plus entraînée dans le mouvement par son travail ou ses amis. Les périodes dépressives deviennent plus graves car le sujet se sent enfermé dans son insatisfaction sans espoir d’en sortir.
On peut voir l’apparition de tendances hypochondriaques. La personne se plaint de maux divers, recherche une médicalisation et une hyper protection de l’entourage. Parfois les phobies prennent des formes nouvelles. Elle s’appuient sur des rationalisations qui semblent plus pertinentes car correspondant à une certaine réalité. Par exemple la peur de sortir dans la rue s’appuie, chez la personne âgée, sur l’évocation du risque d’agression ou sur la peur de tomber .
2/ Théorisation
Après l’entrée dans la phase oedipienne l’organisation libidinale reste incertaine comme hésitante. C’est la névrose la plus simple au sens ou le conflit oedipien est au premier plan sans régression venant compliquer l’organisation psychique.
Œdipe sans régression
Les circonstances favorisantes sont constituées par une famille unie avec un père respecté, un peu distant et autoritaire. La mère est très enveloppante et trop présente. C’est une » sainte femme « , exigeante, inflexible. Il y a une idéalisation excessive des parents. Le sujet est trop et trop longtemps infantilisé par une éducation répressive.
La crainte fondamentale concerne la sexualité. L’absence de résolution du conflit laisse perdurer un désir oedipien refoulé. La seconde crainte concerne l’autre le sujet ayant un sentiment un sentiment de ne pas être à la hauteur par rapport autres. Le refoulement est la défense majeure mais il est partiellement inefficace. Deux cas peuvent se présenter. Soit la crainte initiale affleure sans cesse à la surface et c’est la forme anxieuse. Soit les formes de substitution phobique se sont fixées et la crainte est localisée c’est la forme phobique.
Inhibition, dépression et angoisse
L’inhibition est la conséquence de la répression des deux modalités pulsionnelles agressive et sexuelle. L’instance de l’idéal et le surmoi, trop forts, produisent un refoulement des manifestations pulsionnelles tant agressives que libidinales. En effet le dernier temps du déclin oedipien, qui a lieu à l’adolescence, n’a pu se produire. Les imagos parentales restent idéalisées et répressives ce qui provoque une inhibition pulsionnelle directe par refoulement.
Le moi, en tant qu’instance régulatrice de l’action, joue un rôle essentiel dans l’inhibition. Comme dans la névrose obsessionnelle le moi devance le surmoi. Il freine en permanence les possibilités de manifestation pulsionnelle de façon à éviter le conflit. Il utilise principalement la suppression mécanisme visant à supprimer toute sollicitation (subjective ou concrète) pouvant entraîner une manifestations pulsionnelles. Cette suppression défensive engendre un conflit interne au moi dont le rôle est, par ailleurs, de mettre eu route les actions conduisant à une satisfaction libidinale.
Le double système défensif refoulement et suppression se complètent pour un résultat efficace qui a pour inconvénients de faire disparaître presque toutes les satisfactions pulsionnelles. En outre, la comparaison entre l’image de soi et l’idéal est constamment en défaveur de la première. Il s’ensuit une privation libidinale chronique tant objectale que narcissique, ce qui explique la sub-dépression. Les choix de vie insatisfaisant provoquant un perte libidinale parfois important, le moi s’alerte et les refuse. Il se crée un nouveau conflit interne au moi qui entraîne un mouvement dépressif parfois intense.
Sur le plan du fonctionnement psychique, l’apparition de tendances pulsionnelles jugées dangereuses provoque une angoisse. Le signal du danger est déclenché par le moi qui, ensuite lutte grâce aux mécanismes de défense. En cas d’échec de la défense la réaction anxieuse se produit. L’angoisse est la conséquence du mouvements pulsionnels qui est toujours oedipien en arrière plan et qui entraîne une crainte de répression. Comme les manifestations se heurtent au refoulement, la source de l’angoisse ne peut être mentalisée. Le sujet ne sait pas pourquoi il est angoissé. A chaque fois que le mouvement pulsionnel interdit est réactivé, le danger y afférent reparaît, mais le sujet ne perçoit que la conséquence ultime : la réaction anxieuse.
Naissance de la phobie
La phobie une fois constituée sert à se prémunir contre la réapparition d’aspects refoulés de l’organisation pulsionnelle. Le premier incident constitutif de la phobie sollicite une tendance pulsionnelle qui est immédiatement refoulée mais qui, au passage, provoque bouffée d’angoisse. La tendance pulsionnelle est souvent mixte à la fois libidinale et agressive réalisant selon les cas des mélanges dans des proportions diverses. La fuite de l’objet permet d’éviter toute nouvelle réapparition pulsionnelle. Le surmoi et le moi concourent au maintien de la phobie.
Le déplacement est le mécanisme central de la phobie. Ce déplacement porte sur les désirs érotiques vis-à-vis des parents et sur la crainte que de tels désirs occasionnent (crainte de castration, crainte de transgression). À l’occasion d’un incident quelconque les représentations érotiques et/ou agressives sont transférées sur un référent concret, car ce référent phobogène (situation, animal, lieu) comporte des traits évoquant les structures fantasmatiques. Cette évocation se heurte immédiatement à la réprobation et à la crainte d’une répression vis-à-vis du parent rival. Se produit alors angoisse et refoulement. Par la suite les circonstances identiques réactivent l’ensemble du mécanisme. Il semble aussi que, au bout d’un certain temps, par un court-circuit, ce soit directement l’angoisse qui soit activée.
Bibliographie
Freud S. (1895), Études sur l’hystérie, Paris, PUF, 1974. (1905), » Fragment d’une analyse d’hystérie « , in Cinq psychanalyses, Paris, PUF, 1977. (1913), » La disposition à la névrose obsessionnelle « , in Névrose, psychose et perversion, Paris, PUF, 1973. (1924) » Névrose et psychose « , in Névrose, psychose et perversion, Paris, PUF, 1973. (1926), Inhibition symptôme et angoisse, Paris, PUF, 1981.
Fénichel O. (1953), La théorie psychanalytique de névroses, Paris, PUF, 1953.
Chartier J.P. (1986), » Structures névrotiques « , in Psychologie pathologique, Paris, Masson, 1986.
Marcelli D. (1999), » La névrose chez l’enfant « , in Enfance et psychopathologie, Paris, Masson, 1999.
Millet L, Pon J., Millet-Bartholi F. (1994), La crise du milieu de la vie, Paris, Masson, 1994.
Je ne veux pas travailler
Je ne veux pas travailler
Ma chambre a la forme d’une cage Le soleil passe son bras par la fenêtre Les chasseurs à ma porte Comme des petits soldats Qui veulent me prendre
{Refrain:}
Je ne veux pas travailler Je ne veux pas déjeuner Je veux seulement oublier Et puis je fume Déjà j’ai connu le parfum de l’amour Un millions de roses N’embaumeraient pas autant Maintenant une seule fleur Dans mes entourages Me rend malade
{au Refrain}
Je ne suis pas fière de ça Vie qui veut me tuer C’est magnifique Etre sympathique Mais je ne le connais jamais {au Refrain} Je ne suis pas fière de ça Vie qui veut me tuer C’est magnifique Etre sympathique Mais je ne le connais jamais
-Edith Piaf
Demain Lundi
Je ne veux pas travailler
Obama souligne l’urgence absolue d’agir sur les armes à feu
Obama souligne l’urgence absolue d’agir sur les armes à feu
A la Maison Blanche en Janvier, le président Barack Obama a versé des larmes en parlant de la première qualité des victimes de la masse de tir 2012 à Sandy Hook Elementary School. Entouré par les défenseurs contrôle des armes et les familles des victimes, le président a présenté un plan de contrôle des armes à feu « bon sens » de 10 points, qui comprenait des vérifications des antécédents expansés et l’exploration de la technologie des armes à feu à puce.
» Chaque fois que je pense à ces enfants, il me met en colère. Et d’ailleurs, il arrive dans les rues de Chicago tous les jours. «
– Président Obama
- 30000
décès Gun en Amérique chaque année - 20,000
Gun décès d’Américains âgés de moins de 18 ans dans la dernière décennie - 4,076
victimes de la violence armée à Chicago en 2016, selon le Chicago Tribune
» Nous devons ressentir l’urgence absolue maintenant, car les gens meurent, a poursuivi Barack Obama avant de citer Martin Luther King.
Et les excuses constantes pour l’inaction ne marchent plus. Ne suffisent plus. » Si la série de réformes annoncées n’aura, selon les médias, qu’une portée limitée, elle ne manquera pas de provoquer une nouvelle vague de contestations de la part des opposants à ce projet, d’autant plus que le Président a choisi de passer outre le vote du Congrès, majoritairement républicain et opposé à une modification de la législation en la matière, en déclinant des décrets.
Les mesures
Dans son discours, tantôt ému, tantôt ferme, il a tenu une nouvelle fois à dénoncer la prise en otage des lobbys pro-armes faisant pression sur les sénateurs et représentants et à assurer que ces mesures n’irait pas à l’encontre du Second Amendement à la Constitution qui garantit aux Américains le droit de porter des armes.
» Je crois en le Second amendement, tel qu’il est écrit, a-t-il déclaré. Peu importe combien de fois on tentera de modifier le sens de mes paroles, il s’agit de notre loi constitutionnelle. Mais je crois aussi qu’il existe des moyens de diminuer les violences par armes à feu en accord avec le Second amendement . Ce n’est pas un complot pour retirer ses armes à tout le monde. »
Les réformes présentées par Barack Obama prévoient notamment de réduire les critères d’obtention d’un permis de vente d’armes (en magasin et en ligne), l’amélioration de la vérification des antécédents criminels des acheteurs de fusil, mais aussi de ceux passant pas le biais de société et d’organisations locales grâce à l’emploi de 230 examinateurs au FBI, l’obligation des vendeurs de déclarer les vols d’armes ainsi que 500 millions de dollars l’aide aux personnes souffrant de troubles mentaux graves.
» La NRA a un étau comme sur ce lieu. «
Mais les républicains au Congrès ont fermement résisté aux tentatives d’Obama sur la réforme, et le Président élu Donald Trump oppose une interdiction des armes d’assaut et des vérifications des antécédents élargis, mais des faveurs élargies de lois cachées carry et l’élimination des zones exemptes d’armes dans les écoles. Il a également répondu à des tirs de masse, y compris le tir d’impulsion, en disant qu’il était « trop mauvais » les victimes elles-mêmes étaient pas armés. La NRA voit clairement un allié dans Trump: l’organisation a dépensé plus de 30 millions $ pour soutenir sa campagne.
Les hommes se trompent
Chaque jour un nouveau départ
Chaque jour un nouveau départ
Conscience de son amélioration
Je crois qu’on ne peut mieux vivre qu’en cherchant à devenir meilleur ni plus agréablement qu’en ayant la pleine conscience de son amélioration.
— Socrate
–
Si tu veux profiter de ta vie
Si tu veux profiter de ta vie apprends à profiter de ta simple journée.
— Confucius
–
Voleur de temps
La procrastination est un voleur de temps.
— Edward Young
–
Le jour présent
Mets à profits le jour présent.
— Horace
–
Si la vie est un échiquier
Si la vie est un échiquier, le joueur qui vous fait face est le temps. Si vous hésitez avant d’agir ou si vous négligez d’agir promptement, vos pièces seront balayées par le temps. Vous jouez contre un adversaire qui ne tolère aucune indécision.
–
Un but dans la vie
Aie un but dans la vie, et quand tu as ce but,mets en oeuvre pour l’atteindre toute la force d’esprit et de muscles dont tu es capable.
— Carlyle
–
Le courage sans crainte
Le courage consiste à faire ce dont vous avez peur. Car il n’y a pas de courage sans crainte.
— Eddie Rickenbacker
–
Le changement
Rien n’est permanent, sauf le changement.
— Héraclite
–
Pourquoi pas
Vous voyez les choses ; et vous demandez Pourquoi ? Mais je rêve de choses qui n’existent pas encore ; et je demande, Pourquoi pas ?
— George Bernard Shaw
–
La plupart des gens regardent
La plupart des gens regardent les choses comme elles sont et se demandent Pourquoi ? Moi, je regarde les choses comme elles pourraient être et je demande Pourquoi pas ?
— J.F Kennedy
–
Vous les aiderez à devenir
Traitez les gens comme s’ils étaient ce qu’ils pourraient être et vous les aiderez à devenir ce qu’ils sont capables d’être.
— Johann W.Von Goethe
–
Souvenir du passé
Ceux qui ne peuvent se souvenir du passé sont condamnés à le répéter.
— George Santayana
–
La décision
A l’auberge de la décision, les gens dorment bien.
— Sagesse persane
–
Apprendre à cueillir les fruits
Vous pouvez passer votre temps à étudier les racines de l’arbre, ou vous pouvez apprendre à en cueillir les fruits.
–
Le changement
Les choses ne changent pas, c’est nous qui changeons.
— Henry Thoreau
–
La vie n’est pas statique
La vie n’est pas statique. Seuls ne changent jamais ceux qui sont enfermés, impuissants, dans les asiles, et ceux qui reposent dans les cimetières.
— Everett Dirksen
–
Si tu fais ce que tu as toujours fait
Si tu fais ce que tu as toujours fait, tu obtiendras ce que tu as toujours obtenu.
–
Il y a deux sortes de gens
Il y a 2 sortes de gens sur terre : ceux qui trouvent les moyens de réussir et ceux qui trouvent des excuses à leur échec.
— M. de Cornouardt
–
La lanterne éclaire
La lanterne de l’expérience n’éclaire que celui qui la porte.
— Confucius
–
L’expérience
L’expérience n’est pas ce qui nous arrive. C’est ce que nous faisons de ce qui nous arrive.
— Aldous Huxley
–
Tard et trop tard
Grâce a Dieu, il y a une distance incommensurable entre tard et trop tard.
— Arme Swetchine
–
L’expérience est le nom
L’expérience est le nom que chacun donne à ses erreurs.
— Oscar Wilde
–
Face à l’obstacle
Face à l’obstacle, l’homme moyen abandonne ce qu’il a entrepris. Un grand esprit ne se lasse pas et termine ce qu’il a commencé, même si mille fois des obstacles se dressent devant lui, jusqu’à ce qu’il ait remporté le succès.
— Sagesse hindoue
–
Un résultat différent
La folie, c’est de se comporter de la même manière
et s’attendre à un résultat différent.
— Albert EINSTEIN
–
Le refus de la croissance
La résistance au changement n’est que le refus de la croissance.
— Alexander Ruperti
–
Mourir n’est pas mourir
Mourir n’est pas mourir ; mes amis ! C’est changer !
— Alphonse de Lamartine
–
La vie
Le changement n’est pas nécessaire à la vie, il est la vie.
— Alvin Toffler
–
Changer l’homme
Ce n’est pas seulement le monde qu’il s’agit de changer, mais l’homme.
— André Gide
–
Beaucoup d’humain
Beaucoup d’humains sont prêts à se battre bec et ongles pour qu’on ne leur ôte pas leurs chaînes.
— Bernard Werber
–
L’évolution
L’évolution ne connait pas la marche arrière.
— Boris Cyrulnik
–
Il n’existe rien de constant
Il n’existe rien de constant si ce n’est le changement.
— Bouddha
–
S’adaptent le mieux aux changements
Les espèces qui survivent ne sont pas les espèces les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais celles qui s’adaptent le mieux aux changements.
— Charles Darwin
–
Le monde déteste le changement
Le monde déteste le changement, c’est pourtant la seule chose qui lui a permis de progresser.
— Charles F. Kettering
–
Celui qui déplace la montagne
Celui qui déplace la montagne, c’est celui qui commence à enlever les petites pierres.
— Confucius
–
Face à un monde qui change
Face à un monde qui change, il vaut mieux penser le changement que changer le pansement.
— Francis Blanche
–
Vous devez être le changement
Vous devez être le changement que vous souhaitez voir dans le monde.
— Gandhi
–
Changer d’idée
Nous ne pouvons pas toujours changer le monde, mais nous pouvons changer d’idée.
— Gérald Jampolsky
–
Imaginée
Il est temps de vivre la vie que tu t’es imaginée.
— Henry James
–
La loi de la vie
Le changement est la loi de la vie humaine, il ne faut pas en avoir peur.
— Jacques Chirac
–
Ne doute jamais
Ne doutez jamais qu’un groupe de personnes puisse changer le monde. En réalité, c’est toujours ce qui s’est passé.
— Margaret Mead
–
Si vous le voulez
Allez mieux d’abord, on analysera ensuite si vous le voulez
— Eric Berne
–
Si tu es capable de commencer
Si tu es capable de commencer, tout va bien. Le carburant viendra en son temps.
— Ernest Hemingway (1898-1961)
–
Saisissez l’instant
Vous êtes décidés ? Alors, saisissez l’instant. La hardiesse a du génie, de la puissance, de la magie. Osez, et le reste viendra. Commencez, et le travail se fera.
— Goethe (1749-1832)
–
Le début
Le début est la partie la plus importante d’une tâche.
— Horace (65-8 av. J.-C.)
–
Un voyage d’un millier de kilomètres
Un voyage d’un millier de kilomètres commence avec le premier pas.
— Lao-Tseu (6ème s. av. J.-C.)
–
Réaliser l’impossible
Commence par faire ce qui est nécessaire, puis ce qui est possible, et subitement, tu te surprendras à réaliser l’impossible.
— Saint François d’assise
–
N’aie pas peur que ta vie
N’aie pas peur que ta vie touche à sa fin, crains plutôt qu’elle n’ait jamais commencé.
— Cardinal Newman (1801-1890)
–
Un nouveau départ
A chaque seconde, nous pouvons renaître. Chaque seconde peut marquer un nouveau départ. C’est un choix. C’est ton choix.
— Clearwater
–
Le moment d’agir
Si maintenant n’est pas le moment d’agir, quand viendra ce moment ?
— Hillel (vers 50 av. J.-C.)
–
Le jour où l’on décide d’agir est le bon jour pour commencer à agir.
— Proverbe japonais
–
Carpe diem, Quam minimum Credula a postero : Profite du jour présent, et n’accorde à demain qu’un minimum de confiance.
— Horace (65-8 av. J.-C.)
–
La vie est une chance, saisis-la. La vie est un défi, fais-lui face. La vie est un rêve, fais-en une réalité. La vie est une promesse, remplis-la. La vie est une aventure, ose-la.
— Mère Teresa (1910-1997)
–
Il n’est jamais trop tard pour devenir ce qu’on aurait dû être.
— George Elliot (1819-1880)
–
La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre.
— Albert Einstein
–
Celui qui prend un risque perd pied pour un instant, celui qui ne prend pas de risque perd sa vie.
— Soren Kierkegaard
–
Vous perdez 100% des opportunités que vous ne saisissez pas.
— Wayne Gretzky
–
Vous êtes maître de votre vie, et qu’importe votre prison, vous en avez les clefs.
— Hervé Desbois
–
Nous nous rendons pitoyables ou nous nous rendons forts. La quantité de travail à fournir est la même.
— Carlos Castaneda
Conseils de ma grand mère
Conseils de ma grand mère
1. Laissez le passé derrière vous et marchez vers l’avenir.
Quoiqu’il vous arrive ou quoique vous soyez en train de vivre, ayez toujours confiance en l’avenir. Souvenez-vous qu’il y a TOUJOURS une lumière au bout du tunnel. Ne considérez pas les choses que vous avez comme acquises. Ne prenez jamais quoi que ce soit pour acquis et n’attendez rien des personnes autour de vous ou de la vie en général. Faites toujours de votre mieux pour contrôler les éléments que vous pouvez contrôler et, pour le reste, laissez la vie décider. Pourquoi ? Parce qu’une fois que vous avez fait tout votre possible, rien ne sert de lutter. Si un événement doit avoir lieu, il aura de toute façon lieu ou alors la vie saura vous montrer ce que vous devez faire pour la suite.
2. La vie peut à nouveau redevenir simple.
Vous devez simplement vous concentrer sur une seule chose à la fois. Vous n’avez pas besoin de TOUT faire, tout de suite. Et, surtout, vous n’avez pas besoin de tout faire MAINTENANT ! Respirez, soyez dans le moment présent et faites de votre mieux avec ce qu’il y a devant vous. Dans tous les cas, sachez que ce que vous donnez à la vie, la vie vous le rendra largement. Pour en savoir plus, nous vous conseillons le livre Le pouvoir du moment présent.
3. Soyez vous-même et ne vous attendez pas à ce que les autres vous comprennent.
Dites toujours la vérité, même quand cela fait trembler votre voix. En étant vous-même, vous ajoutez quelque chose de beau au monde —quelque chose qui n’était pas là auparavant. Alors, continuez sur la voie que vous avez choisie, mais continuez avec confiance en vous et avec la tête haute. Ne vous attendez pas à ce que tout le monde comprenne la voie que vous avez choisie. Surtout si ces personnes n’ont jamais été exactement là où vous souhaitez aller.
4. Vous n’êtes plus la même personne que vous étiez avant, et ce n’est pas grave.
Comme tout le monde, vous avez été blessé et vous avez connu beaucoup de hauts et de bas dans votre vie. Ces expériences vous ont aidé à devenir qui vous êtes aujourd’hui. Au fil des années, beaucoup de choses se sont passées : des choses qui ont changé vos points de vue, qui vous ont enseigné des leçons importantes et qui vous ont forcé à développer votre esprit. Au fil du temps, personne ne reste la même personne mais certains vous diront quand même que vous avez changé. Répondez-leur en leur disant : « Bien sûr que j’ai changé. Cela fait partie de la vie. Mais je suis aussi la même personne, juste un petit peu plus forte qu’avant. »
5. Tout ce qui se passe dans la vie vous aide à progresser, même s’il est parfois difficile à comprendre comment à l’instant.
Les circonstances de la vie dirigent votre voie, vous corrigent, et vous perfectionnent avec le temps. Quoiqu’il arrive, n’oubliez pas d’avoir confiance en la vie. N’oubliez pas que même le fil le plus fin peut être torsadé jusqu’à devenir une corde incassable. Dans toutes les tempêtes de la vie, l’espoir doit devenir votre ancre. Soyez confiant et attendez que le vent tourne : ils vous mèneront inévitablement vers des rivages plus paisibles.
6. Ne cherchez pas à devenir riche mais cherchez à être heureux.
Comme ça, quand vous deviendrez vieux, vous comprendrez la vraie valeur des choses, et non pas leur prix. Vous réaliserez ainsi que les meilleurs moments qui vous rendent heureux, ce sont les moments qui ne nécessitent rien de spécial ou d’élaboré. Vous appréciez ainsi le moment présent et ressentez de la gratitude en ne cherchant rien d’autre, ni rien de plus. C’est ça, le vrai bonheur.
7. Soyez déterminé à toujours avoir une attitude positive.
Comprenez une chose essentielle : la plupart de vos tristesses et de vos douleurs ne sont pas déterminées par les circonstances, mais par votre attitude. Par conséquent, souriez aux personnes qui vous en veulent ou qui vous font souvent mal. Montrez-leur ce qui manque dans leur vie et ce qu’ils ne pourront jamais détruire dans la vôtre.
8. Prenez soin des gens qui sont importants pour vous.
Parfois, quand un proche vous dit « Tout va bien », ce n’est pas la vérité. Cela signifie en fait que cette personne a besoin que vous la regardiez dans les yeux, que vous la preniez dans vos bras et que vous lui disiez « Je sais que tu ne vas pas bien. ». Par ailleurs, ne soyez pas rancunier si certaines personnes se souviennent de vous seulement quand elles ont besoin d’être réconfortées. Au lieu de cela, réalisez ce que vous représentez pour ces personnes et essayez de vous sentir privilégié. Pourquoi ? Car pour ces personnes, vous êtes le phare qui apparaît dans leur esprit quand leur vie est envahie par les ténèbres.
9. Parfois, il faut savoir laisser une personne voler de ses propres ailes pour qu’elle puisse s’épanouir.
Parce que ce ne sont pas forcément les choses que vous faites pour les autres qui vont les aider à réussir dans la vie. Ce sont les choses que vous leur aurez enseignées au cours de leur vie qui vont vraiment les aider à réussir.
10. Parfois, il faut savoir s’éloigner des personnes qui n’agissent pas dans votre intérêt pour atteindre vos objectifs.
Cela va vous permettre de faire plus de place dans votre vie pour les personnes qui vous soutiennent vraiment. C’est-à-dire, les personnes qui sont là pour vous aider à devenir le meilleur que vous puissiez être. Cet éloignement est une chose qui arrive progressivement en même temps que vous évoluez dans votre vie. Le jour où vous comprendrez qui vous êtes et ce que vous désirez vraiment dans la vie, vous réaliserez qu’il y a des personnes dans votre vie que vous connaissez depuis toujours mais qui ne voient pas les choses comme vous. À ce moment-là, gardez en mémoire les bons moments que vous avez eus avec cette personne et passez à autre chose.
11. C’est mieux de regarder en arrière sur sa vie et de se dire. – Je n’arrive pas à croire ce que j’ai fait » plutôt que de se dire » Si seulement j’avais pu faire ça…
Dans tous les cas, quoi que l’on fasse dans sa vie, les autres nous jugeront. Par conséquent, ne passez pas votre vie à essayer d’impressionner les autres. Dans la vie, il n’y a qu’une personne qu’il faut vraiment impressionner : c’est vous. Alors, aimez-vous suffisamment pour ne jamais abaisser vos exigences pour le compte de quelqu’un d’autre.
Si vous cherchez un dénouement
heureux.
Et que vous n’avez pas l’air de le trouver, il est peut-être temps de chercher un nouveau début Assumez la réalité de la situation et acceptez que les échecs fassent partie intégrante de la vie. C’est la meilleure façon d’apprendre. Les personnes les plus fortes — celles qui rient souvent avec un sourire sincère — sont les personnes qui ont traversé des moments particulièrement difficiles. Si ces personnes sourient aujourd’hui, c’est parce qu’à un moment difficile de leur vie, elles ont décidé qu’elles n’allaient pas laisser quelqu’un d’autre les tirer vers le bas. Au lieu de cela, elles sont passées à autre chose : elles ont cherché un nouveau départ.
Profiter de la vie
Profiter de la vie
Pardonnez le plus possible,
aimer vraiment.
Riez le plus souvent et ne regrettez jamais ce qui vous a fait sourire ou pleurer….
-Elsa Wolinski
La vie se déroule si vite que nous avons souvent l’impression de courir avec elle sans pouvoir savourer les moments qu’elle nous offre. Malgré toutes les fois où nous nous disons qu’il faut relaxer, nous retombons dans la routine effrénée et sommes vite dépassés par les événements.
-
Ressaisissez-vous
Si la tristesse survient, c’est que vous accordez peut-être trop d’importance aux événements qui sont hors de votre contrôle. Tentez d’identifier ce que vous pouvez concrètement contrôler en examinant certains aspects de votre vie. Le travail conjugué aux obligations familiales, les relations sociales et votre condition physique sont les principaux éléments sur lesquels vous pouvez agir. Concentrez-vous sur ceux-ci et oubliez ce qui est superflu.
-
Apprenez à respirer
Nous avons appris à respirer dès notre naissance. Ce fut le premier mouvement de notre vie. Il est essentiel de le faire correctement, non seulement dans les moments difficiles et stressants, mais plusieurs fois par jour, lentement et profondément. Ce simple exercice vous procurera la paix et la détente. Ces sentiments sont primordiaux pour affronter les petits désagréments quotidiens. Inscrivez-vous à des cours de yoga, vous y découvrirez de meilleures techniques de respiration.
-
Ne faites pas tout en même temps
Votre quotidien est comme une montagne pleine d’étapes à gravir. Vous paniquez en vous demandant si vous pourrez y arriver. Dressez une liste en établissant vos priorités et cochez-y les éléments au fur et à mesure. Identifiez ce que vous pouvez remettre à plus tard et prévoyez sur cette liste, des instants de repos et de détente. Et surtout, vivez le moment présent!
-
Prenez des risques
La vie devrait être un parcours d’exploration. Ne craignez pas le changement et la variété, ils élargiront votre vision du monde. Il se peut que vous trébuchiez, il faudra alors vous relever pour progresser et vous dépasser. Vous apprendrez ainsi à mieux vous connaître et vous serez fiers de vous. Il s’agit d’une belle récompense à vos efforts.
-
Chassez la culpabilité
Le sentiment de culpabilité est un véritable poison de l’existence, surtout celle des femmes. Vous vous sentez coupable dès que vous trouvez plaisir à quelque chose. Vous vous sentez coupable de n’avoir pas agi correctement ou parfaitement. Bref, la culpabilité est une prison où s’installent la honte et le manque d’estime personnelle. Faites en sorte de vous libérer de ce faux sentiment qui ne repose sur rien et qui entrave votre vie.
-
Sortez de la maison et prenez l’air
Vous n’êtes pas tenus d’aller jusqu’au bout du monde pour découvrir des merveilles. Sachez explorer ce qu’il y a autour de vous, comme les produits de votre région, la nature qui la distingue des autres. Faites connaissance avec vos voisins et allez visiter vos amis et votre famille.
-
Faites du sport
L’activité physique accomplie régulièrement procure la bonne forme et libère l’hormone du bonheur. Nul besoin de vous inscrire à des cours d’entraînement ou à des sports qui ne vous conviennent pas. La marche est le sport par excellence, car elle est accessible à tous.
Oubliez votre véhicule et enfilez des vêtements confortables et des chaussures convenant pour chaque saison. Adoptez la marche sportive, rapide et soutenue. En hiver, privilégiez les premières heures du jour pour profiter de la lumière. Cette activité toute simple et peu coûteuse redessinera doucement votre silhouette, si elle est pratiquée quotidiennement.
-
Simplifiez-vous la vie
Faites le ménage en éliminant les objets superflus qui traînent et qui fatiguent votre vue depuis plusieurs années. Mener une vie simple représente un bon moyen d’accéder au bonheur et de profiter de la vie sans les petits irritants. Posséder davantage de biens se traduit souvent par avoir davantage de préoccupations.
-
Luttez contre l’ennui
Rire davantage est le meilleur moyen pour contrer l’ennui. Entourez-vous de ceux qui vous font rire. Regardez et lisez des oeuvres humoristiques. Jouez des tours gentils à ceux que vous aimez pour les égayer. Ces petits gestes chasseront les pensées négatives de votre journée.
-
Créez des occasions festives
Mangez et buvez ce qui vous fait envie, et disons-le, sans excès! Trouvez le temps d’aller au cinéma, de jouer dans la neige avec vos enfants et vos petits-enfants. Organisez des rencontres impromptues et simples, à la dernière minute, dans le but de vous sortir du quotidien. Vous ferez plaisir à vos proches et vous vous ferez du bien. Donner et partager font partie des grandes satisfactions de la vie.
Conclusion
En définitive, les façons de profiter de la vie sont faciles à trouver, à la condition d’ouvrir nos horizons, de ne pas nous laisser anéantir par les soucis et de nous concentrer sur les moments heureux que la vie nous présente.
La vie est trop courte pour la compliquer de haine.
Citation du jour
Citation du jour
Bien se traiter selon Scutenaire
On n’est jamais
si bien traité que par soi-même.
-Louis Scutenaire (Mes inscriptions)
Il n’y a pas de bonheur comparable à la première pression des mains
Les grands-parents ont une place particulière dans le coeur de leurs petits-enfants
tu seras ce que je suis
J’ai été ce que tu es, tu seras ce que je suis
……….
Il n’y a pas de bonheur comparable à la première pression des mains
Il n’y a pas de bonheur comparable à la première pression des mains, quand l’
–Guy de Maupassant
……….
Personne ne peut
Personne ne peut faire pour les enfants ce que font les grands-parents. Ceux-ci répandent une espèce de poudre d’étoiles sur leurs vies
-Alex Haley
……….
Merveilleux d’avoir
Si j’avais su que c’était merveilleux d’avoir des petits enfants, je les aurais eu en premier.
-Lois Wyse
……….
Les petits enfants
Les petits enfants remplissent l’espace vide dans votre coeur que vous ne saviez même pas que vous aviez.
……….
Tout au long de la vie
La naissance d’un petit-enfant est un événement merveilleux et passionnant ! Cet émerveillement et cette excitation continue tout au long de la vie.
-Tom Potts
……….
Un grand -père
Un grand-père est quelqu’un avec de l’argent dans ses cheveux et de l’or dans son coeur
……….
Les gène
Ils disent que les gène sautent des générations. Voila peut être pourquoi les grands-parents trouvent leurs petits-enfants si sympathiques.
Joan McIntosh
……….
Les petits enfants
Les petits enfants sont les cadeaux d’hier, la fierté d’aujourd’hui et la joie de demain.
……….
Poussière d’étoile
Les grands-parents saupoudrent de la poussière d’étoiles sur la vie de leurs petits enfants
-Alex Haley
……….
Le sourire
Supprime de ta vie ceux qui supprime ton sourire
…………………………..😊…………………………………….
Le pouvoir d’un contact
Nous sous-estimons souvent le pouvoir d’un contact, d’un sourire, d’un mot gentil, d’une oreille attentive, d’un compliment sincère ou de la moindre attention. Ils ont tous le pouvoir de changer une vie.
-Leo Buscaglia
…………………………..😊…………………………………….
Gardez le sourire !
Quand votre coeur est triste, regardez loin en avant, dans le vide, là où se trouve la paix, et faites un sourire. La bonne humeur reviendra alors comme par magie dans votre coeur. C’est l’effet boomerang : tout ce qu’on envoie dans l’univers nous revient…
– Dominique Jeanneret
…………………………..😊…………………………………….
Trouver la raison de sourire
C’est quand on en a le moins envie qu’il faut accrocher un sourire à ses lèvres. C’est un moyen infaillible pour découvrir des raisons de l’avoir.
…………………………..😊…………………………………….
Un sourire
Il suffit d’un moment pour esquisser un sourire mais son souvenir est parfois inoubliable. C’est le meilleur antidote de la nature contre les tracas de la vie.
…………………………..😊…………………………………….
Sourire du jour… si vrai pourtant !
Ne me jugez pas. Je suis née pour être géniale. Pas parfaite. . .
…………………………..😊…………………………………….
On ne vit qu’une seule fois
On ne vit qu’une seule fois alors fais ce qui te rend heureux et entoure-toi des personnes qui te font sourire.
…………………………..😊…………………………………….
Celui qui sourit
Celui qui sourit au lieu de s’emporter est toujours le plus fort
…………………………..😊…………………………………….
Sois la raison du sourire
Sois la raison du sourire de quelqu’un aujourd’hui
…………………………..😊…………………………………….
Utilise ton sourire
Utilise ton sourire pour changer le monde. Ne laisse pas le monde changer ton sourire
…………………………..😊…………………………………….
Souris
Souris plus souvent. Ris plus fort. Vis plus longtemps
…………………………..😊…………………………………….
nos sourires un peu plus vrais
Certaines personnes nous font rire un peu plus fort, rendent nos sourires un peu plus vrais et rendent nos vies un peu mieux
…………………………..😊…………………………………….
Sourire…
Viens là que je t’embrasse ! Alors, vous avez souri ? Passez une belle journée et… faites au moins un gros hug aujourd’hui à quelqu’un !
Citation attitude
citation attitude
Commencez par faire
ce qui est indispensable, puis ce qui est possible
et, soudain,
vous ferez l’impossible.
– Saint François d’Assise
Il n’y a pas de miracles. Plutôt tout est miracle.