Monthly Archives: avril 2017

La France, c’est le français quand il est bien écrit.

Ceux qui sont fidèles ne connaissent de l’amour que sa trivialité.

L’amour est comme un oiseau libre d’aller partout

Dieu a dit, il y aura des hommes blancs, des hommes noirs, il y aura des hommes grands, des hommes petits. Il y aura des hommes beaux, des hommes moches et tous seront égaux, mais ça sera pas facile.

Ce qui compte ne peut pas toujours être compté, et ce qui peut être compté ne compte pas forcément.

Peu d’être sont capables d’exprimer posément une opinion différente des préjugés de leur milieu. La plupart des êtres sont mêmes incapables d’arriver à formuler de telles opinions.

L’amour est la fleur

Couper les ponts

Je fais partie d’une société qui pense que travailler 5 jours

Que chaque événement de votre vie vous apprenne quelque chose

PRENDRE LE TEMPS…DE PRENDRE SON TEMPS

Si c’est les meilleurs qui partent les premiers, que penser alors des éjaculateurs précoces ?

Bon matin

Joyeuse Pâques

lapin

Joyeuse Pâques

Nous aurons le destin que nous aurons mérité.

Il y a des peronnes avec qui tu parles 5 minutes et tu souris pendant 24 heures

Blâme ton ami en secret; vante-le devant les autres.

La force du baobab est dans ses racines

La force d’une armée

Si j’ai l’occasion, j’aimerais mieux mourir de mon vivant !

Plus on connaît, plus on aime.

Alike : court métrage touchant qui nous rappelle qu’il faut écouter son coeur

Un bon discours ne doit être basé sur rien, tout en donnant l’impression d’être basé sur tout.

Il y a une différence entre un bâtard et un enfant d’un second lit. Ne confondons pas un erratum et une variante.

L’homme en naissant porte en lui des droits

Ne t’inquiète pas si tu as des difficultés en maths, je peux t’assurer que les miennes sont bien plus importantes !

Ma vie est mon seul enseignement

Observons un grec ancien : il est enveloppé dans un drap, il tient un parchemin et il apporte au monde la civilisation.

Ne vous affligez pas de ce que les hommes ne vous connaissent pas; affligez-vous de ne pas connaître les hommes.